Au Tchad, la quatrième république divise (toujours) les acteurs politiques

La quatrième république ne fait toujours pas l’unanimité au Tchad. Dès le départ, l’opposition politique était opposée aux contours des concertations desquelles sera issue le 4 mai 2018 la nouvelle constitution du Tchad, il y a de cela un an.

Mais toujours, après le passage à la nouvelle constitution, les opposition démocratique déplore une république taillée à la pointure du pouvoir de N’Djamena, tandis que les militants pro-pouvoir ne cesse de saluer cet avènement et dénonce les détracteurs qui osent s’exprimer sur ce nouvel “acquis”.

Après la sortie de l’ex Premier ministre, Pahimi Packadé Albert, qui a jugé utile de se désolidariser de la quatrième république ayant précipité la suppression de son poste, c’est autour des sympathisants du parti au pouvoir, le Mouvement patriotique du salut (MPS), de monter au créneau.

Par la voie de son coordonateur national, Moubarak Ibrahim, la Coalition des organisations de la société civile pour le soutien aux acquis du Forum national inclusif, s’en prend aux signataires d’une pétition contre la quatrième république. Il s’agit de partis politiques et organisations de la société civile ayant apposé leur signature sur ladite pétition.

NDJAMENA 24

5 commentaires sur « Au Tchad, la quatrième république divise (toujours) les acteurs politiques »

  1. Un bon point de presse analytique. Cependant j’encouourage vivement l’équipe de rédaction à relire le texte avant la publication, car il est trufé de fautes gramaticales.

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