Les “per diems” pour le dialogue national inclusif divisent la classe politique tchadienne

Les per diems ont été la cause des déchirements inutiles dans le passé à des événements pareils, a constaté l’ancien ministre de l’Environnement, Siddick Abdelkerim Haggar, converti en chef de parti depuis septembre dernier par la création de sa propre formation politique baptisée l’Union pour la Refondation du Tchad (URT).

Par conséquent, il préconise au Comité d’organisation du dialogue national inclusif (Codni) l’exclusion des “frais de participation”.

Qu’en pensez-vous du constat de l’ancien ministre ? Avez-vous d’autres propositions à faire au Codni pour un dialogue véritablement sincère et citoyen au lieu d’un dialogue auquel la participation de certaines entités serait motivée  purement par des avantages personnels à en tirer.

Rappelons qu’à la cérémonie de clôture du Forum de la jeunesse qui a eu lieu tout récemment en décembre, des vives tensions ont éclaté dans la salle suite à une divergences de vues quant aux per diems “promis” aux participants.

Le per diem est-il une obligation ?