C’est la deuxième série de contestations anti-régime dite “Marche du peuple”, après celle du samedi 6 février qui a entraîné à l’arrestation de plusieurs manifestants et une condamnation ferme des États-Unis contre la violation des droits fondamentaux par les autorités tchadiennes.
Ce samedi 13 février, les rues de la capitale N’Djamena ont été très tôt le matin investies par des groupes de jeunes et femmes torses nues, à l’appel du leader du parti Les Transformateurs, malgré une interdiction formelle du ministère de la Sécurité publique évoquant des troubles à l’ordre public.
Attaques sur le siège national des Transformateurs
Sur sa page Facebook, le parti déplore une trentaine de tirs de gaz lacrymogènes sur son siège par le Groupement mobile d’intervention de la police (GMIP) et la Gendarmerie nationale déployés dans les rues pour étouffer les revendications citoyennes.
D’autres partis politiques ont aussi appelé leurs militants à manifester le 15 février prochain contre un 6e mandat du président sortant Idriss Deby Itno, investi le week-end dernier par sa formation politique pour la présidentielle du 11 avril.
N’DJAMENA 24
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Don’t steal, don’t lie, don’t cheat, don’t sell drugs. The government hates competition!
Did you hear about the first restaurant to open on the moon? It had great food, but no atmosphere.
Q: Why did the banana go to the hospital? A: He was peeling really bad.
Q: Why did the tomato blush? A: Because it saw the salad dressing.
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What did the plumber say to the singer? Nice pipes.
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